En prison pour avoir exprimé sa foi chrétienne

Michael Higgins - Président de l'Irlande

 

En prison pour avoir exprimé sa foi chrétienne

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Vous avez peut-être déjà entendu parler de cet enseignant irlandais qui a fini en prison pour avoir refusé de se conformer à la demande de son école d’utiliser un pronom transgenre pour désigner un élève.

Encore un cas où un chrétien est licencié, suspendu de son emploi ou écarté d’une manière ou d’une autre de la vie publique simplement parce qu’ila défendu ses convictions.

Cet événement nous oblige à reconnaître une vérité douloureuse : ce qui s’est passé n’est pas une erreur. Nous l’avons déjà vu auparavant.

Il y a quelques mois, au Royaume-Uni, Maureen Martin, une chrétienne de 56 ans, a été licenciée pour avoir exprimé son opinion sur la base de ses croyances religieuses.

L’année dernière, la parlementaire finlandaise Päivi Räsänen risquait la prison pour avoir publié un verset biblique sur son compte Twitter personnel.

En France également, les enseignants sont tenus de se conformer à l’idéologie LGBT de l’éducation nationale.

Même l’une de nos militantes de CitizenGO, la Britannique Caroline Farrow, a été traînée devant la Haute Cour et a fait l’objet d’une injonction temporaire pour le délit d’« erreur de genre », considéré comme un harcèlement potentiel.

Tous sont victimes d’une société qui interdit aux chrétiens d’exprimer leurs opinions, si celles-ci sont contraires à l’idéologie progressiste.

Burke est l’un des dix frères et sœurs d’une famille évangélique profondément religieuse.

Maintenant, ils ont entrepris de demander justice. Et ils feront l’objet de nombreuses autres attaques, notamment de la part des médias qui tentent déjà de les présenter comme des fous, des religieux qui ne font que semer le trouble.

Et tout cela se passe alors que la ministre irlandaise de la Justice, Helen McEntee, prépare un projet de loi actualisé sur les discours de haine qui sera soumis au Parlement, « afin de faciliter les poursuites et les condamnations pour les crimes motivés par la haine ».

Cela signifie-t-il qu’à l’avenir, ceux qui défendent leurs convictions religieuses seront automatiquement interdits, mis à l’écart, poursuivis ou même emprisonnés ?

Le cas d’Enoch Burke est une nouvelle attaque contre la liberté de religion, la liberté d’expression et la liberté de conscience.

Nous ne pouvons pas permettre que cela continue. Nous devons dire au gouvernement irlandais que défendre ses convictions ne devrait pas être un crime dans une société libre.

Signez notre pétition pour demander qu’Enoch Burke soit libéré de prison et autorisé à retravailler, puis transmettez-la à vos amis.

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Liberté pour Enoch Burke

À l'attention de Monsieur Michael Higgins — Président de l’Irlande

Le cas d’Enoch Burke, l’enseignant emprisonné qui a été injustement sanctionné pour avoir refusé de valider l’idéologie du genre propagée dans son école, a fait les unes de la presse dans le monde entier.

De nombreux médecins de renom s’inquiètent des dommages physiques et émotionnels que subissent les jeunes lorsqu’ils sont autorisés à « changer de sexe » et cette pratique est remise en question dans de nombreux pays.

M. Burke ne présente aucun risque pour le grand public et n’aurait pas dû être inquiété par la justice pour avoir simplement défendu ses droits et tenté de protéger des élèves.
S’il vous plaît, garantissez le droit à la liberté de conscience et la liberté d’expression : les croyances de chacun ne devraient pas être un crime dans une société libre.

 Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de ma très haute considération.

[Votre Nom]

Liberté pour Enoch Burke

À l'attention de Monsieur Michael Higgins — Président de l’Irlande

Le cas d’Enoch Burke, l’enseignant emprisonné qui a été injustement sanctionné pour avoir refusé de valider l’idéologie du genre propagée dans son école, a fait les unes de la presse dans le monde entier.

De nombreux médecins de renom s’inquiètent des dommages physiques et émotionnels que subissent les jeunes lorsqu’ils sont autorisés à « changer de sexe » et cette pratique est remise en question dans de nombreux pays.

M. Burke ne présente aucun risque pour le grand public et n’aurait pas dû être inquiété par la justice pour avoir simplement défendu ses droits et tenté de protéger des élèves.
S’il vous plaît, garantissez le droit à la liberté de conscience et la liberté d’expression : les croyances de chacun ne devraient pas être un crime dans une société libre.

 Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de ma très haute considération.

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