Non à l'idéologie du genre
Sexe et non pas genre - abandonnez le projet de loi sur la violence sexiste
Sexe et non pas genre - abandonnez le projet de loi sur la violence sexiste
Le 9 décembre, le Conseil européen, l’un des deux organes décisionnels centraux de l’Europe, veut introduire une directive visant à prévenir la violence fondée sur le sexe. La proposition ne vise pas à protéger les filles et femmes, ce dont tout le monde convient. C’est bien plus dangereux et pervers.
Nous sommes confrontés à une tentative cachée de l’UE de consacrer juridiquement le concept d’idéologie du genre dans tous les États membres.
La proposition vise à inclure la violence contre la communauté LGBTQ+ dans le même panier que la violence contre les femmes et les filles. Elle étend également la définition du crime violent à la cyber-violence. Nous savons ce que cela signifie :
Le simple fait d’oser dire la vérité sur les hommes et les femmes sur Internet sera considéré comme une violence contre la communauté LGBTQ !
Ensemble, nous pouvons faire en sorte que cela n’arrive pas.
Si l’UE voulait vraiment protéger les femmes et les filles, elle n’utiliserait pas le langage du genre et n’inclurait pas la communauté LGBTQ+.
Bien sûr, la violence contre les personnes LGBTQ+ doit être condamnée, tout comme la violence à l’encontre de toute personne en raison de son statut social, religieux ou culturel.
Mais cette proposition cache une intention extrêmement préjudiciable qui nous affecte, vous et moi, ainsi que tous ceux qui osent exprimer leurs opinions librement.
Dans un monde où les guerriers de la justice sociale prétendent que les mots sont une « violence littérale » et qualifient même des femmes de gauche comme J.K. Rowling de « cyberterroriste » ; cette proposition anéantirait la liberté d’expression et signifierait que quiconque critiquerait une personne transgenre en ligne se verrait accusé de cyber-violence fondée sur le sexe.
Je ne peux pas décrire à quel point notre militante au Royaume-Uni, Caroline Farrow, a été traumatisée lorsqu’elle a été arrêtée chez elle, alors qu’elle préparait le dîner devant ses enfants, parce que certains de ses commentaires sur Twitter avaient contrarié un activiste transgenre. Si cette proposition devient une directive européenne contraignante, des cas comme celui de Caroline seront monnaie courante.
Signez maintenant pour dire à Emmanuel Macron de NE PAS approuver cette proposition fallacieuse contre la violence sexiste.