Bruxelles ne doit pas décider qui gouverne la Pologne !

Bruxelles ne doit pas décider qui gouverne la Pologne !

 

Bruxelles ne doit pas décider qui gouverne la Pologne !

Bruxelles ne doit pas décider qui gouverne la Pologne !

0100.000
  56.808
 
56.808 signé. Atteignons 100.000!

Le Parlement européen est, une fois de plus, utilisé comme un outil politique pour faire pression sur les États membres sur des questions qui ne relèvent pas des compétences de l’Union européenne.

Le 21 octobre 2021, une réunion au Parlement européen a eu lieu, au cours de laquelle les députés ont procédé au premier vote de la prochaine résolution contre la Pologne.

La résolution demande à la Commission européenne de sévir contre la Pologne et d’utiliser le chantage financier pour suspendre la participation de la Pologne au plan de relance de l’UE — le plus grand plan de relance jamais mis en place, suite à la pandémie mondiale.

Il s’agit d’une nouvelle attaque flagrante contre la démocratie polonaise, dans le but de provoquer une crise politique contre le gouvernement élu, en soutenant une opposition qui ne fera rien d’autre que d’accepter toutes les exigences de Bruxelles qui cherchent à éroder progressivement la souveraineté de l’État polonais. 

La politique de deux poids, deux mesures de l’UE ne connaît aucune limite dans le traitement inégal des États membres. En Allemagne, des décisions de justice rendues en 2009 et 2019 ont stipulé que l’UE n’avait aucune compétence pour s’immiscer dans les systèmes nationaux de justice individuelle. Pourtant, dans le cas de la Pologne, la Commission européenne outrepasse ses propres compétences et s’ingère dans la Cour constitutionnelle polonaise sous la forme d’un chantage financier.

La Pologne est devenue la cible d’une attaque de propagande impitoyable. Il suffit de regarder les récentes déclarations de politiciens soumis aux dogmes de Bruxelles pour voir qui serait le principal bienfaiteur d’une Pologne sans souveraineté.

Ils font même référence à l’histoire des partitions, en « prenant soin » de la population polonaise afin de la « protéger » contre le gouvernement démocratiquement élu.

Cela montre la détermination des élites européennes qui ont recours à de telles comparaisons et à une telle rhétorique contre nous.

Aujourd’hui, la plupart des Polonais sont favorables à un projet européen ; mais ils ne souhaitent pas ce genre de projet où Bruxelles ou Berlin décident à leur place qui doit gouverner, notamment sur les questions sociétales.

Le match d’aujourd’hui au Parlement européen fait prendre conscience à beaucoup d’entre nous. Le pays européen le plus fort voit les choses tout à fait différemment et est prêt à priver un pays plus petit de son sens de la souveraineté.

La Pologne ne peut être tenue pour seule responsable aux « atteintes aux fondements de l’UE ». Le désamour des citoyens européens vis-à-vis de l’UE n’est pas du seul fait de la Pologne.

0100.000
  56.808
 
56.808 signé. Atteignons 100.000!

Complétez votre signature

Signez cette pétition maintenant!

 
Please enter your email
Please enter your first name
Please enter your last name
Please enter your country
Please enter your zip code
Merci de choisir une option:
We process your information in accordance with our Privacy Policy and Terms of Service

Bruxelles ne doit pas décider qui gouverne la Pologne !

Mesdames et Messieurs les députés
David Maria Sassoli - Président du Parlement européen
Ewa Kopacz, vice-présidente du Parlement européen

L’arrêt du Tribunal constitutionnel polonais du 7 octobre 2021 relève de sa compétence pour interpréter la Constitution polonaise et sanctionner la primauté du droit polonais sur le droit de l’Union européenne.

Il ne s’agit ni de mettre le pays sur la voie de la sortie de l’Union européenne, ni d’une tentative de saper les fondements de l’UE, comme le précisent certains politiciens européens.

La contestation par le Tribunal constitutionnel polonais du principe de la suprématie juridique de l’UE n’est pas sans précédent, elle s’inscrit dans une longue tradition. Dans des arrêts similaires, la Cour constitutionnelle fédérale allemande, la Cour constitutionnelle italienne, la Cour constitutionnelle tchèque et la Cour suprême danoise ont estimé par le passé que le droit communautaire et le fonctionnement de la Cour de justice des Communautés européennes (CJCE) étaient soumis aux constitutions des États membres.

Cependant, dans le cas de la Pologne, cela est devenu la raison d’une résolution radicale du Parlement européen, appelant la Commission européenne à utiliser le chantage financier contre la Pologne.

Les bureaucrates européens se comportent comme les fonctionnaires d’un super-État européen qui usurpe le droit d’imposer des sanctions à un État membre souverain, alors que les traités de l’UE ne le permettent pas.

Il est clair maintenant que, en ce qui concerne les prétendues violations de l’État de droit, dont la Pologne est accusée, l’Union européenne est bien plus à blâmer que les États membres qu’elle veut soumettre. Cela met en évidence l’hégémonie politique impitoyable de l’État le plus puissant de l’UE aujourd’hui.

Le Parlement européen est devenu un lieu où, de temps à autre, ont lieu des exécutions rituelles des gouvernements politiquement gênants des pays qui souhaitent défendre leur souveraineté.

Malheureusement, grâce à ces décideurs européens, les citoyens ont cessé de croire en la réussite du projet européen qui s’affaiblit de jour en jour. Si cela continue, c’est vous et les députés européens qui soutenez activement ces activités, qui seront les premiers responsables de son enterrement définitif.

[Votre Nom]

Bruxelles ne doit pas décider qui gouverne la Pologne !

Mesdames et Messieurs les députés
David Maria Sassoli - Président du Parlement européen
Ewa Kopacz, vice-présidente du Parlement européen

L’arrêt du Tribunal constitutionnel polonais du 7 octobre 2021 relève de sa compétence pour interpréter la Constitution polonaise et sanctionner la primauté du droit polonais sur le droit de l’Union européenne.

Il ne s’agit ni de mettre le pays sur la voie de la sortie de l’Union européenne, ni d’une tentative de saper les fondements de l’UE, comme le précisent certains politiciens européens.

La contestation par le Tribunal constitutionnel polonais du principe de la suprématie juridique de l’UE n’est pas sans précédent, elle s’inscrit dans une longue tradition. Dans des arrêts similaires, la Cour constitutionnelle fédérale allemande, la Cour constitutionnelle italienne, la Cour constitutionnelle tchèque et la Cour suprême danoise ont estimé par le passé que le droit communautaire et le fonctionnement de la Cour de justice des Communautés européennes (CJCE) étaient soumis aux constitutions des États membres.

Cependant, dans le cas de la Pologne, cela est devenu la raison d’une résolution radicale du Parlement européen, appelant la Commission européenne à utiliser le chantage financier contre la Pologne.

Les bureaucrates européens se comportent comme les fonctionnaires d’un super-État européen qui usurpe le droit d’imposer des sanctions à un État membre souverain, alors que les traités de l’UE ne le permettent pas.

Il est clair maintenant que, en ce qui concerne les prétendues violations de l’État de droit, dont la Pologne est accusée, l’Union européenne est bien plus à blâmer que les États membres qu’elle veut soumettre. Cela met en évidence l’hégémonie politique impitoyable de l’État le plus puissant de l’UE aujourd’hui.

Le Parlement européen est devenu un lieu où, de temps à autre, ont lieu des exécutions rituelles des gouvernements politiquement gênants des pays qui souhaitent défendre leur souveraineté.

Malheureusement, grâce à ces décideurs européens, les citoyens ont cessé de croire en la réussite du projet européen qui s’affaiblit de jour en jour. Si cela continue, c’est vous et les députés européens qui soutenez activement ces activités, qui seront les premiers responsables de son enterrement définitif.

[Votre Nom]