Pétition adressée au dirigeants du G20
Non à l'avortement à domicile
Non à l'avortement à domicile
Cette idée se réalise en France et avance aux Pays-Bas, en Allemagne et au Royaume-Uni... et d’autres pays suivront sans doute bientôt.
Malheureusement, quelques pays, dont la France ont en fait déjà accepté leurs propositions en liant ce problème à la crise actuelle du Coronavirus.
C’est dire à quel point les choses peuvent aller vite quand de dangereux lobbyistes et de mauvais politiciens se réunissent...
Le discours classique des militants de l’avortement est le suivant :
« Je vous confirme que j’ai des remontés de territoires attestant qu’il y a une réduction inquiétante du recours à l’IVG », à cause, notamment, de l’enfermement dû au confinement et des effets de la crise sanitaire. Il a poursuivi : « Il est hors de question que l’épidémie de Covid-19 restreigne le droit à l’avortement dans notre pays », précisant que « plusieurs dispositions sont à l’instruction et vont être prises dans les plus brefs délais, pour la plupart d’entre elles ».
« Il est hors de question que l’épidémie de Covid-19 restreigne le droit à l’avortement dans notre pays »
Le première étape consistera en une téléconsultation d’information et de remise des ordonnances, puis une autre consultation (physique ou à distance celle-là, ndlr) conduira à prise du premier médicament (antiprogestérone).
Il sera donc désormais possible d’avorter à la maison.
Les conséquences sont claires. Il sera plus facile que jamais de se faire avorter et, comme nous l’explique Olivier Veran, « il y a une baisse inquiétante du nombre d’avortements en France ». Le nombre de bébés à naître qui vont être tués va augmenter. Et l’industrie de l’avortement bénéficiera de plus en plus de l’argent des contribuables.
Et vous pouvez être sûrs que les partisans de l’avortement n’abandonneront jamais cette nouvelle voie pour tuer des bébés.
Nous ne pouvons pas laisser cela se produire... Exhortons nos gouvernements à avoir le courage et la sagesse de ne pas céder à ces nouvelle mesures radicales.
L’objectif des lobbyistes de l’avortement est, de toute évidence, de rendre l’avortement plus accessible.
Les dizaines de millions de bébés à naître qui sont avortés chaque année ne leur suffisent apparemment pas. Pas plus que les milliards de dollars qu’ils « gagnent » pour leur horrible travail.
De plus, les activistes de l’avortement veulent depuis longtemps rendre ces médicamentsfacilement accessible par le biais du médecin généraliste, voir directement du pharmacien sans ordonnance. Ils utilisent la crise du coronavirus comme excuse pour faire passer ce projet !
C’est un plan très transparent... et nous devons y mettre un terme
L’idée est la suivante : si les pays du G20 acceptent cette proposition, elle se répandra dans le monde. S’ils la rejettent, ce terrible plan risque d’être stoppé dans son élan.
Dans de nombreux pays, il est illégal pour les médecins généralistes de prescrire des pilules de ce type à leurs patientes, et encore moins de le faire par un simple appel téléphonique.
C’est pourquoi les lobbyistes de l’avortement veulent leur donner une autorisation « temporaire » avec comme objectif l’autorisation définitive.Parce qu’une fois qu’il a été autorisé, pourquoi revenir en arrière ?